Hotel Heaven Palace
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 HAMILTON, Pressly. - Construction.

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Pressly Hamilton

Pressly Hamilton


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MessageSujet: HAMILTON, Pressly. - Construction.   HAMILTON, Pressly. - Construction. EmptyJeu 22 Mai - 11:14

    Pressly Hamilton
    HAMILTON, Pressly. - Construction. 2lb2u7p HAMILTON, Pressly. - Construction. 1t3t5d
    Crédit.


    Nom & Prénom: HAMILTON, Pressly.
    Surnom : Lily'.
    Date, lieu de naissance & âge : 13 décembre 1988 - Texas, Dallas - 19 ans.
    Avatar : Kristen Bell.

    Potins avant l'emprisonnement :
    Où aimez-vous vous promener dans l'hôtel :
    Réaction face à l'emprisonnement :
    Valises :
    Liens :

    + Grand défaut :
    + Grande qualité :
    Caractère : Pressly est indécise, frustrée, c'est une écorchée vive. Sa sensibilité dépasse bien le stade de la petite éraflure sur le bord du genou. Elle ne résiste plus à ses émotions, ne peut plus se contrôler, elle pleure, rit, s'énerve, complimente, on pourrait appeler cela des sautes d'humeurs ou tout simplement apparenter son comportement à des troubles bipolaires, après tout, son père était atteint par cette maladie... Je vais à présent décrire un peu plus sa forte "sensibilité", Pressly est extrêmement affectueuse, attentionnée et a peut-être tendance à placer les gens un peu plus haut qu'ils ne devraient l'être, je veux dire par rapport à l'estime qu'elle leur porte. Délicate, émotive, elle pourrait faire pitié au plus cruel des humains existants sur terre, je précise bien humain. Lily est aussi très susceptible, elle ne perçoit pas forcément les paroles de la bonne façon, c'est une sorte de mauvaise interprète, due à une mauvaise réception certainement... La jeune blonde est aussi réellement vulnérable et précaire... Fragile. Pressly n'est jamais sûre d'elle, mais elle trouve pourtant le courage de finir tout ce qu'elle commence et fit par se rendre fière, en réalité, elle est très douée pour tout ce qui touche au domaine de la réflection, l'apprentissage et la musique. C'est une très bonne élève.
    Passons à présent le domaine de son instabilité sentimentale que la petite lycéenne tente tant bien que mal de cacher et attardons nous sur ses réels défauts. Pressly peut se révéler fourbe et manipulatrice, une véritable hypocrite. Elle a appris à ne pas faire confiance, ni aux hommes, ni à la vie et cherche désespérément un moyen de se faire oublier. Mais à vraie dire, quand elle a besoin de quelque chose qu'elle n'est pas capable de faire elle-même, elle n'hésite pas à se servir de quelqu'un d'autre pour le faire à sa place, sans éprouver aucun regret par la suite. C'est sa façon à elle ne se prouver qu'elle peut avoir tout ce qu'elle veut. De plus, Pressly est aguicheuse, volage, mais terriblement romantique, je ne suis pas sûre de devoir considérer cela comme un défaut...
    Je ne suis pas sûr de pouvoir décrire correctement les qualités de Pressly, je trouve cela un peu trop prétentieux, même venant de moi. Je vais tenter de rester objective et de ne pas m'attarder sur ce qui n'est pas réellement important. Comment, dire, la jeune lycéenne n'a pas beaucoup de qualités apparentes, elle est très peu loquace ce qui empêche de découvrir sa véritable personnalité. Ce que l'on peut pourtant remarquer chez elle, c'est qu'elle est excessivement (bonjour l'objectivité) surprenante et surtout persévérante. Surprenante grâce à ses changements d'humeur fréquents et elle a prouvé sa persévérance et sa détermination à l'école, où elle excelle dans tous les domaines, sauf peut-être la physique, matière qu'elle trouve inutile et d'inintéressante.

    Physique :
    Style vestimentaire :

    Autres :

    Trois peurs :

    Comment trouvez-vous le forum ? Il est vraiment magnifique.
    Visite fréquente sur le forum ? 5/7.
    Question de réglement :
    Commentaire / Suggestion :


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MessageSujet: Re: HAMILTON, Pressly. - Construction.   HAMILTON, Pressly. - Construction. EmptyJeu 22 Mai - 11:52

    Passé : Le plus grand malheur de ma vie fut certainement la rencontre de mes parents, bien que je ne sois pas encore née, j'ai toujours eu l'impression que c'était une erreur, enfin bref, maintenant qu'ils sont morts je vais vous raconter à ma façon leur première rencontre.
    C'était à l'époque du lycée, Melody Greenberg était alors une brillante élève, ses matières préférées étaient les sciences, autant vous dire tout de suite que personne ne l'aimait à cause de ses airs de madame je sais tout. Brian Hamilton, lui n'avait aucun dont particulier à par celui de faire craquer les filles, ma mère en était raide dingue (Melo), mais lui ne lui prêtait aucune attention. Les amis de mon père (Brian) étaient ce que l'on peu à présent appeler des débiles profonds, il parait que quand j'étais petite, ils m'ont accidentellement fait tomber d'une chaise haute... Enfin bref. Antoine, Charles et Dick, n'ont jamais eu la science infuse et ça tout le monde le savait. Un jour dans un élan de crétinerie, l'un d'eux a lancé un défi à Brian, "sortir avec Melo la fille la moins aimée de tout le lycée et coucher avec elle".Hum... Je ne sais pas qui c'est mais je suis prête à parier que c'est Dick, après tout c'est bien lui qui m'a fait un croche-patte alors que je n'avais qu'un an et demi et que je savais à peine marcher... Bien sûr mon père a accepté, il n'est pas du genre à se laisser démonter, c'est peut-être l'une de ses qualités qui lui a le moins servi ce jour-là, donc, il est allé voir ma mère et lui a fait du charme, naïve la jeune adolescente s'est jetée dans ses bras et ils l'ont fait le jour suivant. C'est là que vient le HIC et c'est moi le HIC, ils ne s'étaient pas protégés. Quelques jours plus tard, mon père largua ma mère qui n'avait alors que 17 ans et qui était déjà enceinte. En rage elle écrit une lettre aux parents de son ancien amant pour leur faire par de "l'heureux" évènement. Le truc qu'elle ne savait pas c'est qu'ils étaient hypers catholiques, donc... Bon j'abrège... Ils se sont marié et ont eu deux jumeaux. Mon frère et moi.
    *flash back*
    C'était un jour de novembre, ma mère, Melody Greenberg, détestait ce mois et tentait tant bien que mal de se convaincre qu'il était déjà décembre, mon père quant à lui, Brian Hamilton, semblait réellement regretter sa journée, les deux adolescent se rendait, apparemment au même endroit, mais par deux chemins différents. Ils étaient tout l'opposé l'un de l'autre, elle était pauvre, impopulaire et excessivement belle, lui était riche, apprécié et sa peau beaucoup trop blanche n'inspirait que pitié. Pourtant, un événement allait les rassembler et ce malheureux événement, allait, semblait-il, arriver dans les prochains six mois. Leurs routes se croisaient enfin, mais pas leur regard, ils se fuyaient, c'était évident. Peut-être, finalement, ne se connaissaient-ils pas ? Je me souviens que c'est à ce moment, quand ma mère m'avait raconté cette histoire il y a cinq ans déjà, que je m'étais demandée si Brian était vraiment mon père. Mais la suite éclipsa mes doutes. Melody se risqua alors à diriger son regard bleu azure sur Brian, qui semblait autant gêné que la jeune femme.
    « Je pensais t'avoir dit de ne pas venir. » se risqua-t-elle.
    « Tu n'es pas la seule concernée Melo » répondit-il sagement.
    « Ne m'appelle pas Melo. »
    Le grand homme brun, leva la tête, son visage laissait paraitre une once de lassitude. Il ne répondit rien, se contenta juste de lui faire comprendre par un simple regard qu'il avait compris. La grande et belle blonde qu'était Melody repris sa marche, Brian lui emboîta le pas. Vous devez vraiment vous demander ce qui va se passer et moi aussi, je mourrais secrètement d'envie de savoir le reste de l'histoire. Quelque mètre, de silence, plus tard, les deux jeunes gens s'arrêtèrent net. Ma mère soupira, un soupir plein de sous-entendus... Elle semblait triste, anxieuse. Mon père le vit et, dans un dernier espoir, il tenta de lui prendre la main pour la rassurer, mais elle le repoussa violemment sans même lui adresser un regard. Ils se trouvaient tous deux, plantés devant un gigantesque hôpital, aussi imposant qu'un château fort du moyen âge. Les ambulances s'agitaient tout autour d'eux, ce qui ne fit qu'amplifier le stress accumulé dans la journée, de la jeune mère, qui venait pour sa première échographie. Elle venait à peine, environs une semaine de cela, de se rendre compte qu'elle était enceinte de son ex-petit ami, j'ai nommé Brian, qu'elle détestait à présent. Ils montèrent tous deux, à l'étage pour rencontrer le médecin qui se chargerait de la jeune mère. Ils n'attendirent pas longtemps avant d'entrer dans le bureau de celui-ci qui s'empressa de faire allonger Melody sur la table d'examen, Brian semblait troublé et réellement de mauvaise humeur. Le ventre de la lycéenne était protubérant et très présent pour trois mois de grossesse à peine.
    L'examen se passa sans encombre, mais le médecin parut gêne et se risqua à poser une question aux deux jeunes adultes.
    « Quel âge avez-vous ? »
    « Dix-sept ans » répondirent-ils en coeur.
    L'homme fut vraisemblablement choqué, mais il se reprit très vite et exposa son diagnostique.
    « Tout semble se passer pour le mieux (Brian se détendit) cependant, j'ai à vous dire que votre vie va changer et pas de la façon dont vous le pensiez, du moins si vous gardez les enfants. »
    « Les enfants. » s'étouffa Melody.
    « Oui, vous attendez deux jumeaux. » Finit-il. Ce fut-là que ma mère interrompu aussi son histoire. Je devinais par la suite avec certitude que les deux enfants que ma mère attendait en ce temps-là, furent mon frère et moi.
    *fin du flash back*
    Bonjour tout le monde ! Je suis né ! Mais je partage mon landau une place avec un espèce de truc qui me sert de frère jumeau et oui, un seul bébé était prévu, moi bien sur... Enfin bref, une autre chose que je regrette, c'est d'avoir vu, la première fois que j'ai pu voir, les trois crétins que je déteste toujours autant, Antoine le français, Charles l'anglais et Dick, le martien. Cruelle vie...
    Je savais que je n'étais pas vraiment la bienvenue dans ce monde, tout simplement parce que je n'étais pas un enfant de l'amour, mais tout de même, m'appeler Pressly Gwennaëlle ! Bon sang mais qu'est ce qui leur ait passé par la tête, ils ne pouvaient aps tout simplement m'appeler Gwennaëlle, Pressly c'est vraiment horrible ! Mon frère a eu de la chance, ils ne l'ont pas appelé Dick junior comme vous savez qui le suggérait, ils ont choisi Owen. Nos deuxième prénom sont ceux de nos parents. Je n'ai jamais considéré Josh comme mon père, sauf quand j'y suis obligé pour vous faire comprendre mon histoire et Owen n'a jamais considéré ma mère comme la sienne, même à trois ans il prenait un grand plaisir à lui vomir dessus, ce qui m'a toujours exaspérée.
    Nous avions cinq ans quand ma mère est morte d'un cancer, elle était relativement jeune, Brian n'est pas venu à son enterrement, mais il a pleuré, pendant des jours et des nuits enfermé dans sa chambre, j'avais presque pitié de lui jusqu'au moment où je me suis rendu compte qu'il pleurait parce qu'il avait perdu je ne sais pas combien de livres au poker, il me répugne... Ce fut alors nos grands parents paternels qui nous prirent en charge, un calvaire, la prière avant de manger et la messe tous les dimanches... J'en passe... Brian n'était pas capable de nous donner à manger, il n'arrêtait plus de boire et passait tout son argent au jeu. A j'oubliais ! Devinez qui est mon parrain !
    Dick... Vie ingrate...
    Mon père est mort quand Owen Josh et moi avions douze ans, il ne m'a pas manqué pendant le reste des années que j'ai vécu, il n'a jamais été là pour moi. Pendant mon adolescence je n'ai fait... Que des "bétises", restons polis, mes professeurs ne pouvaient plus me supporter. Tandis que mon propre frère était le chouchou de ceux-ci, il n'était qu'un sale hypocrite... Et il est mort, il s'est suicidé, en plus d'être un hypocrite, c'était un lâche et un imbécile.
    *Flash back*
    C'était un froid soir de décembre, vingt-huit décembre, j'avais alors environs quinze ans, j'étais en plein dans la période que l'on appelle tout simplement l'âge bête. Le vent violent faisait claquer les volets non attachés de la petite maison des Hamilton et la neige tombait en abondance sur le sol frais. J'étais assise sur le rebord de sa fenêtre, en nuisette, complètement abasourdie par la drogue, je n'avais aucunement conscience du fait qu'il faisait un froid de canard. J'avais aussi complètement oublié que je n'étais pas seule et m'étais abandonnée à l'envie de monter le son de sa musique à fond. Le reste de la maisonnée était normalement calme, tous s'étaient habitués au bruit, car même après de nombreuse réprimandes je n'avais pas daigné baisser le son. J'ai peut-être oublié de mentionner le fait que j'avais un frère, un frère-jumeaux plus précisément. Pour vous dire la vérité, nous ne nous sommes jamais bien entendus et nous sommes toujours disputés la meilleure place aux yeux de nos parents, première place qu'à toujours eut le jeune homme. Il s'appelait Owen, était un élève surdoué en toutes les matières, même le sport, adulé par toutes les jeunes filles et surtout, il était le "préféré" et possédait tout ce dont il avait besoin, où même envie. Moi, je passais toujours après, c'est bien d'ailleurs pour cela que je m'étais mise à me droguer, pour m'attirer un regard, même mauvais, de mes parents, que j'aimais tant. Dans mon quartier privé, je continuais de bader la lune, qui était bien présente ce jour-là, malgré les intempérie. J'adorais la neige, cela me rappelait mon grand-père, la seule personne qui avait jamais su m'apprécier à ma juste valeur... Il devait être aux environs de vingt-heures du soir. Je pris une cigarette que j'allumai avec difficultés. La fumée s'envola aussitôt dans les air formant, pour une demi-seconde, un petit nuage blanchâtre et opaque. Je fermai les yeux. Le vent me fit voleter mes longs cheveux blonds mal-coiffés et ondulés. La radio s'arrêta alors, il y avait eu une panne d'électricité et toute la maison était plongée dans le noir, absolu. Bien décidée à illuminer à nouveau cet endroit qui semblait bien plus froid que d'habitude, je me levai d'un coup manquant de m'étaler en trébuchant sur un vieux coussin. Un bruit lourd se fit entendre, dans le couloir, surprise, je sursautai, mes sens s'étaient miraculeusement décuplés et je me dirigeai vers la salle de bain, l'endroit d'où le son était parti. Exaspérée, je poussai la porte en levant les yeux au ciel et, dans un boucan énorme tombai à genoux sur le carrelage blanc qui recouvrait le sol gelé de la salle de bain. Un corps inanimé s'étendait sur le sol, un corps masculin qui m'était familier, c'était celui d'une personne que je n'avais jamais pu voir, mais à présent elle représentait tout à mes yeux. Oui, c'était bien mon propre frère, qui baignait dans une gigantesque marre de liquide sombre. Une vision d'horreur, cette scène qui semblait si triste et immobile m'apparaissais comme un film d'épouvante. La lumière revint enfin, mais cela ne fit aucune différence. Un cri se fit entendre, mais il m'était impossible de deviner qui l'avait poussé, je ne pouvais plus bouger, plus voir, ni entendre. Mon coeur s'était brisé, moi qui pourtant pensais ne plus en avoir. Quelqu'un hurlait à la mort et une autre personne me bouscula, me poussa, mais je ne bougeais pas d'un centimètre. Et tout d'un coup ce fut le trou noir, plus rien un grand vide s'étendait autour de moi, le noir était revenu et...
    Le lendemain matin, je me réveillais tant bien que mal. J'étais allongée dans mon lit, sous des tas de couvertures. Mon père était assis sur une chaise, le regard vide. Je mis une bonne dizaine de minutes à reprendre mes esprits. Et les images de la soirée passée me revinrent en mémoire à la vitesse de la lumière. Mr. Hamilton leva alors lourdement sa tête, le visage blafard, les cernes plus noires et profondes que le néant.
    « Il est mort. »
    *Fin du flash back*
    Présent : Après ce terrible accident, j'ai reprit tant bien que mal le court de ma vie, le suicide de mon frère fut la plus dure des épreuves que j'ai endurées, bien que je pensais le détester. Mais à présent, je reste sûre du fait que lui ne m'ai jamais réellement apprécié, alors je vis avec et je continue de me persuader qu'il n'était qu'un crétin intelligent.
    Aujourd'hui, je fais tout ce qu'il ne faut pas faire, mais cela me plait. Je vis au jour le jour, j'ai eu une expérience de la mort, si l'on peut dire cela comme cela, terrible et je vis chaque jour comme s'il était le dernier.
    *flash back*
    Il pleuvait. Les gouttes d'eau claquaient sur le toit de ma petite maison. Je finissais à peine mes devoirs que je plongeais dans une profonde mélancolie. La pluie me rappelait mon passé. Bien que je détestais ce genre de moment, je me laissais aller à mes souvenirs, laissant aller librement mon esprit, allant de réminiscences en réminiscences. Cela me permettait ainsi de faire le point sur ma situation.
    Je n'avais plus de famille et je vivais seule. Avant leur mort, mes parents m'avaient émancipé. Il m'était très difficile de distinguer leur visage, le re dessiner dans mon esprit. Ce qui était sûr, c'est que tous deux me manquaient terriblement. Mon grand-père aussi, j'aurais tellement aimé qu'il soit présent pour me voir, être fier, m'enlacer. C'est alors que je dû admettre que j'étais réellement en manque d'amour et de câlin. Je fronçais alors les sourcil décidément bien déçue de moi-même. Dans une rage incontrôlable, je balançais tout ce qui tenait sur mon bureau et m'étalais nonchalamment sur mon lit. Il m'était impossible de me calmer, j'étais bien trop épuisée pour lutter, anxieuse pour détendre mes muscles crispés et triste pour arrêter de pleurer. Oui, je pleurais, car je m'en voulais de ne pas avoir été parfaite à leurs yeux, aux yeux de tous, y compris mon frère.
    Mon frère... Lui qui était mort il y a trois ans, je ne pouvais me sortir de la tête que j'étais la seule responsable. Que sa mort m'était due, que c'était une punition des dieux pour lui avoir dit que je le détestais et que je voulais qu'il disparaisse. Et je le déteste plus de jour en jour, de me faire culpabiliser et me renfermer sur moi-même. La lune descendait peu à peu pour chasser son ennemi lumière. Je me résignais enfin et décidais de dormir avec le sentiment que peut-être demain serait un jour meilleur et que toute ma vie n'avait en fait été qu'un véritable, horrible et insoutenable cauchemar. Avec l'espérance de revoir ma famille. J'en demandai trop.
    *fin du dernier flash back*

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